Azraëlle Thanatos Sweat, Sweat, Angel
Age: 25 Messages: 33 Date d'inscription: 20/12/2021
| Sujet: Azraëlle Thanatos Lun 20 Déc - 18:39 | |
| A Z R A Ë L L E T H A N A T O S - Dis toi que l’Ange est douceur mortelle - ― Ab origine fidelisBe proud of where you come from.
| Nom complet: Azraëlle Thanatos, certain me surnomme l’Ange de la mort ou le Baiser empoisonné. Qu’a cela ne tienne ! Il est vrai que la bible parle de moi en terme flatteur. Âge: A peine plus de 2000 ans, l’une des premières créations de Dieu après l’Extinction, bien qu’il me préfère toujours ce crétin de Gabriel. Sexe: Féminin Nationalité: Je suis née en Grèce, dans la belle cité d’Olympie, égérie de Zeus. Race: Séraphin Emploi: Directrice de Révélation, agence de casting.
Avatar choisi: Jessica Stroup |
Vultus est index animi ― We can read your soul through your face.
Sulfureuse. Charmante. Classe. Distinguée. Outrageante. Coincée. Explosive. Je peux être beaucoup de chose. Ces mots peuvent tous être ceux qui vous viendront a l’esprit en me voyant. Tout ce joue sur les vêtements ou le maquillage, mais pas seulement. J’adapte mes manières a ce rôle que je veux vous voir avaler. Ma beauté peu être douce ou sauvage. Sulfureuse ou suave. Même la couleur de mes yeux, la couleur de mes cheveux. Je change de role comme d’envie pour mieux vous piéger. En réalité, mes yeux sont d’un bleus profonds, azur étrange encore souligner par la cascade de cheveux noirs qui leur sert d’écrin. Mais ne vous y trompez pas, je change de peau comme d’humeur. J’ai d’ailleurs une collection impressionnante de lentilles oculaire de couleurs différentes. Il reste donc très difficile de graver mes traits dans votre mémoire. Pour le reste, je dois dire que je prends soin de moi, j’ai toujours été un peu vaniteuse, attentive a ma beauté, si la Grèce qui vit ma naissance adulait l’apparence, vénérait la perfection physique, je n’étais pas en reste, même si le temps est passé, atténuant ce trait. Je prends soin de moi, et le corps qui est le mien reflète mes efforts, Tout en courbe sans un gramme de trop, déliés, souple, je ne suis que grâce et sensualité a peine étouffée. Je suis outrageusement attirante et je l’assume totalement. Au creux d’une cuisse fuselée et si vous avez beaucoup de chance, vous pourrez discernez le symbole de mon allégeance a dieu, petit tatouage gravé sur une peau laiteuse. Cela dit, ce n’est pas le seul tatouage qui orne ma peau, il en est un plus discret fait voilà 2000 ans, juste derrière l’oreille. Le symbole d’Hestia. Oui, j’étais, ce que les romains nommèrent plus tard, une Vestale de mon vivant.
― Nosce te ipsum'Cause we all hide behind a mask ― know yourself.
Ah…Qui suis-je…Même moi parfois, j’oublie. Il est difficile de me cerner car je change tout le temps, je suis un caméléon qui s’adapte a ce que vous voulez voir, esperez connaitre. Je possède une bonne conscience de l’âme humaine et sais en définir l’essence d’un coup d’œil. Mes actes font sans doute de moi une manipulatrice et cela est sans doute vrai. Je manipule, je me sers des faiblesses de l’homme contre lui-même. Ces sept pêchés capitaux soit disant exécrés de dieu sont en réalité sa création la plus parfaite, ils sont autant de faiblesses que j’exploite pour vous conduire là où je le veux. J’aime ce que je fais, loyale au désirs ambitieux de Dieu. Peut être y puiserais je ma propre gloire. Je mens. Je suis hypocrite. Certains l’affirme ou alors est ce encore un role que je joue ? Je sais pourtant être charmante, douce aussi. Pourtant, il existe un coté sombre qui a vu la naissance de mes surnoms. J’ai la particularité de tuer moi-même les humains que je désire bénir. Poison, arme a feu, accident habilement orchestrés. Une mort douce ou violente, cela dépend de mes humeurs, mais une chose est sure, ils meurent de ma main, ainsi je m’assure d’être celle qui les bénira. Trop d’apprenti ange ont été volés par un démon plus rapide, plus malin, hors de question que cela m’arrive. Je ne le permettrais pas. Autre défaut, ou qualité, c’est selon, je suis arrogante, capable de dissimuler ce trait, mais il se révèle dans l’éclat farouche de mes iris. Je ne supporte pas de perdre, n’accepte pas la défaite ce qui peut me rendre imprévisible parfois, dangereuse souvent. Mais quelque part, au fond de moi demeure cette petite fille arrachée aux siens pour servir l’image aveugle d’une déesse païenne. Destinée a la chasteté et a l’entretient du feu sacré. J’étais naïve et joyeuse, je riais souvent aussi. Cette part là existe encore, quelque part, mais son murmure se fait chaque jour plus tenu, finira-t-il par disparaitre ? Mes mains sont rougies du sang des innocents, mais chaque nuit voit la grandeur de Dieu s’accroitre, chaque nuit me voit m’oublier un peu plus.
Mihi cura futuri ― But the past can still help you.
Je suis née en plein durant les Jeux Olympiques. Présage bienheureux pour certain, présage de malheurs pour d’autres. Pourtant, ma vie était destinée a être douce, sereine, née dans une famille de notable d’Olympie, je n’aurais manqué de rien. Me serais sans doute mariée sur l’autel d’Héra vers l’âge de 8 ou 9 ans. A mon tour, j’aurais donné naissance a des futurs guerrier, érudits ou sages. Oui, c’était là qu’avait été ma voie, celle qu’aurait voulu ma mère a ma naissance. Malheureusement, il en fut autrement. A la mort d’une Vestale, une autre est nommée.
Prise dans son jeune âge, montrant des signes annonciateurs de sacré. Je ne me souviens pas vraiment de cette époque, mais la déchirure que l’on m’imposa lorsqu’on m’enleva a mes parents, elle, demeure vivace. J’avais 5 ans, j’étais l’une des future prêtresse d’Hestia. Ainsi en avait décidé les astres. Les étoiles ont toujours eut bon dos au court de l’histoire, cela est risible quelque part. Ainsi continu ma vie, loin des miens, éduquée pour servir une déesse inventée de toutes pièces par l’homme et ses frayeurs inutiles, stupides. Pourtant, c’était un honneur sur mon nom, une garantie de valeur. Chaste et pure, préposée a l’entretient du feu divin représentant le foyer. Quel honneur et sans doute y ais je cru a cette époque. Nous étions libre et enfermée dans notre role.
Nous étions 4 et nous nous entendions bien, elles étaient ces sœurs que je n’avais pas. Cette famille qui me manquait. J’ai grandis ainsi..Puis, il est venu.
Krakos. Un homme magnifique, terriblement. Résister a la tentation fut difficile. Les unes après les autres, il fit céder mes sœurs, les souillant, prenant leur corps autant que leur cœur. Elles n’étaient plus pure, ne pouvaient plus servir. Bientôt, il ne resta plus que moi. Moi et mon innocence, moi et ma volonté. J’ai faillis. J’ai faillis céder a mon tour et, fait étrange, je ne dois le salut de ma virginité qu’a ma fierté, mon arrogance. Non, je ne céderais pas comme mes faibles sœurs. Malgré la beauté, la douceur, la sensualité et les avances sulfureuses. Oh, il me toucha, me caressa, m’enivra certainement mais jamais il ne put briser la pureté de mon corps de sa perversion. Et là où j’attendais des coups, de la douleur, il n’y eu qu’un rire avant la mort.
J’avais 20 ans. J’étais vierge. Innocente. Aux portes de la mort en ces temps anciens. Je suis morte oui mais bénie. Je ne sais pas ce qu’il lui plut en moi. Mais plus jamais il ne chercha a me prendre. Il fit s’écrouler mes croyances comme un château de carte, m’éleva vers un but bien plus grand que celui auquel j’étais destinée. Je restais auprès de Krakos durant des siècles, apprenant de lui. J’héritais de cette particularités de tuer moi-même de lui. Après tout, ne m’avait il pas tuée après m’avoir choisit ?
Puis, il fut rappelé par Dieu, celui-ci estimant que je pouvais me débrouiller seule dorénavant. Le monde changeait, indubitablement. Je fis de même. M’adaptant sans cesse. Les soifs de territoire devinrent des soifs de pouvoir, les soifs de pouvoirs, des soifs d’argent, d’influence. J’étais partout, nulle part. Une ombre qui traverse les âges récoltant des âmes, élevant des guerriers sous les ordres de Dieu. Je grossissais ces rangs sans faiblir, aimant parfois, surtout, ce que je faisais.
Mais ce n’était pas assez, non, rien n’est jamais assez pour Dieu. Il lui en faut toujours plus, insatiable entité qui dévorait ces propres enfants. Moi dans tout ça, je perdais mon innocence, ne conservant que ma pureté, reste d’arrogance terrible. J’étais cette princesse qui montait l’un contre l’autre deux pays. J’étais cette espionne allemande. J’étais cette petite prussienne assassine. Je bénissais, toujours, encore. La lassitude ne me gagnait pas mais elle me quitta définitivement a ce moment…
Ce moment où je tenais ma propre gloire a porter de main. La guerre que nous menions gagnait en intensité, je puisais dans les âmes le pouvoir de continuer, avec un appétit démentiel. Et puis, lui. Juste un gamin comme un autre. Un pauvre gosse de riche. Pourtant, j’ai su discerner sa différence, étrange, attirante. Mais pour l’avoir, il me faudra me battre et ça, je le faisais avec mes propres armes, affutées dans les millénaires.
― Spes salutisWhat about the master mind ?
| Prénom ou pseudo: pwix Sexe: ça va mais non merci Âge: Je rentre en boite sans montrer ma carte Localisation: S'toi la localisation Un commentaire ? : J'ai honte |
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