l'ère des SEXTOS
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l'ère des SEXTOS
L' ère des sextos
C’est la combinaison des mots sexe et texto qui a donné un résultat hors de l’ordinaire en offrant la possibilité aux utilisateurs et utilisatrices de la téléphonie cellulaire de se dévoiler de manière intime, parfois très explicite.
Que ce soit par des mots coquins, osés ou par des photos qui en mettent plein la vue, les sextos connaissent un nombre incalculable d’adeptes. En couple, célibataire, en âge de le faire ou pas. Si certaines personnes en profitent abondamment, d’autres le font sans toutefois connaître l’impact que cela peut avoir. Inoffensif croyez-vous?
Messages textes ou plutôt messages sexes
Autrefois, il y avait les téléphones osés. Ces appels qui dénotaient l’attrait sexuel que deux personnes pouvaient avoir l’une pour l’autre et qui se l’exprimaient clairement au téléphone. Ils existent encore, mais les sextos prennent de plus en plus de place, car ils peuvent être envoyés à toute heure, de façon discrète, donc à l’abri des autres. Mais les expéditeurs de ces messages ou de ces photos sont-ils vraiment certains que les autres ne sont pas au parfum des moindres détails de leur anatomie?
«C’est très dangereux», a ainsi expliqué le capitaine de la police de Pennsylvanie George Seranko. «Une fois que c’est sur un téléphone mobile, ce téléphone peut-être mis sur Internet où n’importe qui dans le monde peut accéder à cette photo juvénile. Vous ne vous rendez pas compte de ce que vous faites jusqu’à ce que ce soit fait». Des images qui se retrouvent sur Internet semblent donc faire partie des risques potentiels du jeu. Et à ce jeu, Jasmine, une ado de 13 ans, s’est fait prendre: «Mes parents m’ont donné un cellulaire quand j’ai eu 12 ans. Je pense qu’ils se sentaient mal pour moi parce qu’ils venaient de divorcer et que je n’ai pas de frère ou de soeur.
Mes amies sont super importantes pour moi et ils croyaient que c’était un bon moyen de rester en contact. Ils pouvaient aussi me rejoindre n’importe quand, donc ça faisait leur affaire aussi. Mon chum avait un cellulaire lui aussi. À un moment donné, j’ai reçu un message et je pensais que ça venait de lui. Il me demandait une photo cool de moi en brassière. Je l’ai faite. Quand j’ai su que c’était son père qui l’avait, j’ai capoté. On s’est laissé et là, j’ai super peur de faire confiance à un autre gars. C’est pas drôle ces affaires-là, faut pas niaiser avec ça.»
Pas toujours dramatiques
Des situations comme celle qu’a connue Jasmine surviennent régulièrement et fréquemment. Parfois les conséquences sont dévastatrices, parfois elles suscitent une crainte intense, mais de courte durée. Dans les deux cas, il est important de tenir compte de l’impact de tout ceci dans une vie et, comme diraient les sages, d’en tirer une leçon. Cependant, toute situation n’est pas dramatique. Je me souviens de ce couple que j’avais reçu en thérapie – qui terminait son cheminement –, qui en était à l’étape de trouver des moyens de mettre du piquant et qui avait choisi les sextos.
Les sextos mettaient de la couleur dans les journées plus sombres: «Normand croyait que je “n’achèterais” pas ce moyen de communication! Mais croyez-moi, avec mon Black- Berry, je suis vite sur le piton! J’utilise toujours mon téléphone pour le travail, c’est donc facile de lui faire parvenir un petit message de temps à autre, à travers les autres messages. Ça passe inaperçu! Alors, depuis ce temps, à n’importe quel moment de la journée, je lui envoie des messages. Pas toujours cochons, il faut que je me fasse désirer, quand même! Je n’ai pas encore poussé l’audace de lui envoyer une photo osée de moi. J’ai peur qu’elle se retrouve sur Internet.
Je suis paranoïaque sans doute, mais je ne suis pas prête à prendre le risque. Je suis avocate et je ne voudrais pas que mes clients me voient de cette manière ! On dirait que j’ai moins peur avec les mots seulement. C’est fou! Je me rends compte maintenant à quel point ce moyen nous a permis de renouer avec notre côté séducteur et notre folie d’autrefois. Je ne pense pas que c’est pour tout le monde, mais je crois fermement que ceux et celles qui le font de manière éclairée, ça peut être extrêmement stimulant et excitant. Normand ne s’en plaint pas du tout.»
C’est la combinaison des mots sexe et texto qui a donné un résultat hors de l’ordinaire en offrant la possibilité aux utilisateurs et utilisatrices de la téléphonie cellulaire de se dévoiler de manière intime, parfois très explicite.
Que ce soit par des mots coquins, osés ou par des photos qui en mettent plein la vue, les sextos connaissent un nombre incalculable d’adeptes. En couple, célibataire, en âge de le faire ou pas. Si certaines personnes en profitent abondamment, d’autres le font sans toutefois connaître l’impact que cela peut avoir. Inoffensif croyez-vous?
Messages textes ou plutôt messages sexes
Autrefois, il y avait les téléphones osés. Ces appels qui dénotaient l’attrait sexuel que deux personnes pouvaient avoir l’une pour l’autre et qui se l’exprimaient clairement au téléphone. Ils existent encore, mais les sextos prennent de plus en plus de place, car ils peuvent être envoyés à toute heure, de façon discrète, donc à l’abri des autres. Mais les expéditeurs de ces messages ou de ces photos sont-ils vraiment certains que les autres ne sont pas au parfum des moindres détails de leur anatomie?
«C’est très dangereux», a ainsi expliqué le capitaine de la police de Pennsylvanie George Seranko. «Une fois que c’est sur un téléphone mobile, ce téléphone peut-être mis sur Internet où n’importe qui dans le monde peut accéder à cette photo juvénile. Vous ne vous rendez pas compte de ce que vous faites jusqu’à ce que ce soit fait». Des images qui se retrouvent sur Internet semblent donc faire partie des risques potentiels du jeu. Et à ce jeu, Jasmine, une ado de 13 ans, s’est fait prendre: «Mes parents m’ont donné un cellulaire quand j’ai eu 12 ans. Je pense qu’ils se sentaient mal pour moi parce qu’ils venaient de divorcer et que je n’ai pas de frère ou de soeur.
Mes amies sont super importantes pour moi et ils croyaient que c’était un bon moyen de rester en contact. Ils pouvaient aussi me rejoindre n’importe quand, donc ça faisait leur affaire aussi. Mon chum avait un cellulaire lui aussi. À un moment donné, j’ai reçu un message et je pensais que ça venait de lui. Il me demandait une photo cool de moi en brassière. Je l’ai faite. Quand j’ai su que c’était son père qui l’avait, j’ai capoté. On s’est laissé et là, j’ai super peur de faire confiance à un autre gars. C’est pas drôle ces affaires-là, faut pas niaiser avec ça.»
Pas toujours dramatiques
Des situations comme celle qu’a connue Jasmine surviennent régulièrement et fréquemment. Parfois les conséquences sont dévastatrices, parfois elles suscitent une crainte intense, mais de courte durée. Dans les deux cas, il est important de tenir compte de l’impact de tout ceci dans une vie et, comme diraient les sages, d’en tirer une leçon. Cependant, toute situation n’est pas dramatique. Je me souviens de ce couple que j’avais reçu en thérapie – qui terminait son cheminement –, qui en était à l’étape de trouver des moyens de mettre du piquant et qui avait choisi les sextos.
Les sextos mettaient de la couleur dans les journées plus sombres: «Normand croyait que je “n’achèterais” pas ce moyen de communication! Mais croyez-moi, avec mon Black- Berry, je suis vite sur le piton! J’utilise toujours mon téléphone pour le travail, c’est donc facile de lui faire parvenir un petit message de temps à autre, à travers les autres messages. Ça passe inaperçu! Alors, depuis ce temps, à n’importe quel moment de la journée, je lui envoie des messages. Pas toujours cochons, il faut que je me fasse désirer, quand même! Je n’ai pas encore poussé l’audace de lui envoyer une photo osée de moi. J’ai peur qu’elle se retrouve sur Internet.
Je suis paranoïaque sans doute, mais je ne suis pas prête à prendre le risque. Je suis avocate et je ne voudrais pas que mes clients me voient de cette manière ! On dirait que j’ai moins peur avec les mots seulement. C’est fou! Je me rends compte maintenant à quel point ce moyen nous a permis de renouer avec notre côté séducteur et notre folie d’autrefois. Je ne pense pas que c’est pour tout le monde, mais je crois fermement que ceux et celles qui le font de manière éclairée, ça peut être extrêmement stimulant et excitant. Normand ne s’en plaint pas du tout.»
Règles à suivre si vous «sexter»
1. Tracez votre ligne
Les messages sexe sont un grand terrain de jeu. Déterminez d’abord ce que vous voulez en retirer. Une nuit torride ou un rendez-vous doux avec un petit ami potentiel?
2. Tâtez le terrain
Afin d’éviter de surprendre l’objet de votre convoitise à un mauvais moment, ouvrez la porte avec des mots équivoques, subtils. « “J’ai envie de toi”, c’est un grand classique… Pour les plus téméraires, “J’ai envie de m’asseoir sur toi”, ça ne veut rien dire de précis, mais ça ouvre l’imagination toute grande », estime Sophie, 28 ans, conceptrice publicitaire, inconditionnelle de son BlackBerry.
3. Faites ça court
Autre règle d’or: les messages courts, directs, mais imagés, sont les plus efficaces. À proscrire : les abréviations. « Les messages sexe devraient être vite faits, mais bien faits. Les abréviations ou les émoticons, ça manque de goût », croit Sophie.
4. Faites-le parfois languir
S’il est impressionnant de voir certaines personnes composer des SMS à la vitesse de la lumière, le flirt le plus léger demande un certain doigté… qui ne se mesure pas au temps de réplique.
5. Ne vous impatientez pas
Vous vous êtes manifestée et il ne répond toujours pas? Respirez par le nez. Les messages sexe sont amusants, mais ils n’engagent à rien.
6. Modérez vos transports
Envoyer un message sexe avec un verre dans le nez ? C’est moins dommageable qu’un coup de téléphone, mais tout de même vivement déconseillé.
7. Méfiez-vous des envois hâtifs
Tuyau technique: privilégier la fonction «répondre» plutôt que l’envoi à partir du carnet d’adresses. Même dans le feu de l’action, relisez-vous! Les fautes, ce n’est pas sexy.
8. Gardez-vous une petite gêne
Les photos: visage exclu. À tout prix, sauf si on veut éblouir son amoureux de toujours. Parce qu’un nu pixellisé, c’est facilement transféré sur le Web, où ce sont plutôt les erreurs du passé qui durent pour toujours!
9. Ne boudez pas votre plaisir
Ne jetez pas le bébé avec l’eau du bain. Dans le cas où cette pratique vous semble d’un ridicule sans nom, vous qui préférez la chaleur des vrais rapports aux contacts virtuels, ne rabaissez pas le caquet de votre prétendant. Essayez!
scorpy- modo

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Re: l'ère des SEXTOS
j'enverrais jamais une photo de même, même si j'étais célibataire avec un autre chum mettons... ben trop peur qu'elle se retrouve partout sur le net 
Re: l'ère des SEXTOS
scorpy- modo

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Re: l'ère des SEXTOS
Baffffffffff une photo toute nu de moi ....non ça me dérange pas du tout .
Je peux vous en expédier. en autand que j'ai le temps de me couvrir la figure..
Je peux vous en expédier. en autand que j'ai le temps de me couvrir la figure..
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Re: l'ère des SEXTOS
frifri

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Re: l'ère des SEXTOS
est-ce que tes yeux sont rendu au genoux
scorpy- modo

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Re: l'ère des SEXTOS
Tu sauras le grand que mes yeux sont située encore au bon endroit...
excepté que les paupière ferme plus longtemps
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scorpy- modo

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